Qui est Ikram MEKHFI?
Au moment ou j'écrivais cet article pour me présenter, je me suis sincèrement demandé la question, qui suis-je? J’ai pris alors une feuille, et j’ai remué mes méninges pour me connaître.
Marocaine d’Oujda, je m’appelle Ikram إكرام. J’ai 22
ans. Je suis étudiante à l’Ecole Nationale de Commerce et de Gestion d’Oujda,
parcours Commerce, spécialité Marketing et Action Commerciale.
Passionnée du
marketing, j’ai senti qu’il est nécessaire de partager mon parcours scolaire
et universitaire modeste, duquel j’ai tiré personnellement des leçons
pertinentes.
Un proverbe d'auteur inconnu dit : ‘When
there is a will, there is a way’. Mais
personnellement, je l’attribue à une femme que je respecte beaucoup, une femme
militante dans tout ce qu’elle sait faire, "Mme MEHDAOUI". Cette dame est professeur d’Anglais, qui m’a assuré la matière en baccalauréat au lycée Mohammed
Abed El Jabri à Oujda, et qui a marqué, non pas seulement mon cursus scolaire à
l’époque, mais ma vie entière.
Ce proverbe, qu’elle nous a appris, m’a accompagné
et m’accompagne depuis, pratiquement dans toutes les situations que je
confronte.
Les personnages publics, les stars, les artistes…ont
chacun réalisé un succès dans son domaine. En tant que personnes non connues,
on se demande pas mal de fois comment ce succès a pu être atteint.
Personnellement, je pense que la réponse à cette question, en dépit de la
diversité des personnes concernées, est unique. C’est la volonté, mariée avec la persévérance. Partant de ces deux ingrédients, les résultats que nous pouvons obtenir sont illimitées.
Ayant à mes côtés des professeurs comme "Mme MEHDAOUI",
j’ai eu mon baccalauréat, mention Très Bien avec fierté. De la même fierté et
d’une excitation marquante, j’ai passé le concours d’accès à la faculté de
Médecine et de Pharmacie d’Oujda. Boom ! Non admis ! Comment ?
Ce n’est pas comme ça que j’ai planifié les choses. Quelle est l'erreur que j'ai commise?
C’est à ce niveau que j’ai
appris la leçon qui a marqué ma vie à jamais.
Rêver c'est bien, c'est un droit, mais à côté, il faut se faire un plan. A une simple condition que ce plan soit numéroté, Plan A.
Vous l’aurez sûrement compris, s’il y a plan A, il faut y avoir un plan B.
Cette façon de penser implique un élément important, qu’est l’acceptation de la
réalité. Si on arrive à se faire un plan B, c’est qu’on est conscient que le
plan A peut ne pas fonctionner pour une raison ou une autre, et même peut être une erreur, qui en l’évitant, on
se met réellement sur la bonne route de notre vie.
ENCG, j'entend parler, oui! Mais je ne savais pas ce qu'il représentait à part qu'il s'agit d’une école
publique d’enseignement supérieure en économie. Avec un bac Sciences Physiques,
je disais à mon père, si je me trouve dans une situation de choix entre ENCG et Faculté des Sciences, avec tout ce que cette dernière implique comme image péjorative, je choisirais la 'Fac'. Effectivement, c’est ce que j’avais eu entre mes mains.
Mais, malheureusement, ou plutôt heureusement, je n’ai pas tenu la parole que je ne
cessais de dire et redire, j’a choisi l’ENCG en fin de compte, j’ai alors accepté la réalité.
J'ai enfin rejoint la Business School, et durant tout le premier semestre (S1), j'ai eu énormément de sentiments de regret et d'envie d'abandonner. Mais Dieu merci, j'ai pu me familiariser avec l'atmosphère à partir du deuxième semestre (S2), et de là je commence à dresser mon titre 'Ikram, l'ENCGOiste'.
A partir du S2, le rêve commence à poindre à l'horizon. Ce rêve s'appelle le Marketing. Et depuis, je sens le plaisir en étudiant.
JE PARTAGE.
JE PARTAGE.
Salam aleykoum Ikram. C'est un plaisir de te lire, de découvrir ton parcours scolaire et enfin ton blog. Fais toi plaisir et de la réussite je t'en souhaite beaucoup ainsi qu'à tous les Makhfi 😉. Nassira Djafer
RépondreSupprimerMerciiii Merciii Nassira, Je te souhaite également beaucoup de réussite : )
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